Nouvelle Cité, coll. • Racines », 2000, 225 p., 99 F.
Chercheur de haut niveau et prêtre engagé dans la pastorale, Thierry Magnin expérimente chaque jour les liens profonds qui unissent science et religion. L'ouvrage ne cherche pas à faire « concorder coûte que coûte science et foi » ou à les penser comme des entités séparées pouvant se suffire à elles-mêmes. Il montre plutôt qu'entre l'attitude du chercheur de Dieu et celle du chercheur en sciences il existe une connivence de sens. L'aventure scientifique et l'aventure spirituelle ne jouent pas sur les mêmes champs, mais elles réclament une même attitude intérieure
Les découvertes scientifiques majeures ou la manière dont les grands scientifiques ont abordé les problèmes de la matière et du vivant sont à chaque fois remarquablement présentées. Puis vient le temps de la parabole Le travail du chercheur en devient récit. Un chemin s'ouvre dans les coeurs. Un espace est laissé pour que Dieu et le je se parlent librement.
Ce livre est écrit sous la forme d'un dialogue entre un professeur et l'un de ses étudiants. Certes, le procédé rend l'ouvrage vivant mais il appellerait un effort littéraire de même qualité que le fond.
Chercheur de haut niveau et prêtre engagé dans la pastorale, Thierry Magnin expérimente chaque jour les liens profonds qui unissent science et religion. L'ouvrage ne cherche pas à faire « concorder coûte que coûte science et foi » ou à les penser comme des entités séparées pouvant se suffire à elles-mêmes. Il montre plutôt qu'entre l'attitude du chercheur de Dieu et celle du chercheur en sciences il existe une connivence de sens. L'aventure scientifique et l'aventure spirituelle ne jouent pas sur les mêmes champs, mais elles réclament une même attitude intérieure
Les découvertes scientifiques majeures ou la manière dont les grands scientifiques ont abordé les problèmes de la matière et du vivant sont à chaque fois remarquablement présentées. Puis vient le temps de la parabole Le travail du chercheur en devient récit. Un chemin s'ouvre dans les coeurs. Un espace est laissé pour que Dieu et le je se parlent librement.
Ce livre est écrit sous la forme d'un dialogue entre un professeur et l'un de ses étudiants. Certes, le procédé rend l'ouvrage vivant mais il appellerait un effort littéraire de même qualité que le fond.