Cette lettre de Thérèse a sa soeur Céline a été écrite du Carmel de Lisieux le 25 avril 1893 (cf lettre 141, OEuvres complètes, Cerf/Desclee de Brouwer, 1992 pp 460 462) Thérèse a fait profession depuis presque trois ans et vient de traverser ce qu'on s'accorde a appeler ses « années obscures » Céline, en cette année 1893durant laquelle Thérèse accède a ce don d'expression unique qui ne la quittera plus jusqu'à sa mort en 1898 —, est sa correspondante privilégiée (elle-même entrera au Carmel en septembre 1894)
Cette magnifique méditation d'une jeune religieuse sur la vie contemplative a l'adresse d'une laïque est commentée par Jean