Une fois franchies les porches de l'université, ce que vous aimiez par-dessus tout, c'était décamper, arpenter rues et quais à l'aveugle, puis, recrus de fatigue, dépenser vos maigres pécules en bières ou cafés. Votre principal sujet de conversation, alors, tournait autour du soin extrême que vous apportiez à vos « oraisons ». Vous en parliez à cœur ouvert, sans complexe, en regardant