Éditions Don Bosco, 2006, 370 p., 29 euros.
De sa monumentale biographie Don Bosco en son temps (Società editrice internazionale, 1996, plus de 1400 pages !), le P. Desramaut a extrait ici les principaux chapitres. Alerte et bien documenté, le récit est exempt de toute déformation hagiographique.
Le fondateur des salésiens (1815-1888) revit sous nos yeux au milieu des bouleversements de l’unité italienne et des conflits entre Pie IX et le gouvernement installé à Rome. Petit paysan pauvre, élevé à la dure par une mère veuve d’une fidélité catholique sans failles, il avait une intelligence concrète et créatrice. Tenace, passionné de zèle pour les jeunes à l’abandon, il va son chemin à travers de multiples obstacles. Très tôt entouré d’un halo de vénération qu’il a laissé se créer avec une paisible humilité, il meurt épuisé à soixante-douze ans.
On aurait aimé qu’à ce récit si vivant soient ajoutées quelques précisions sur la spiritualité de don Bosco qui, il est vrai, a été vécue plus qu’explicitée.
De sa monumentale biographie Don Bosco en son temps (Società editrice internazionale, 1996, plus de 1400 pages !), le P. Desramaut a extrait ici les principaux chapitres. Alerte et bien documenté, le récit est exempt de toute déformation hagiographique.
Le fondateur des salésiens (1815-1888) revit sous nos yeux au milieu des bouleversements de l’unité italienne et des conflits entre Pie IX et le gouvernement installé à Rome. Petit paysan pauvre, élevé à la dure par une mère veuve d’une fidélité catholique sans failles, il avait une intelligence concrète et créatrice. Tenace, passionné de zèle pour les jeunes à l’abandon, il va son chemin à travers de multiples obstacles. Très tôt entouré d’un halo de vénération qu’il a laissé se créer avec une paisible humilité, il meurt épuisé à soixante-douze ans.
On aurait aimé qu’à ce récit si vivant soient ajoutées quelques précisions sur la spiritualité de don Bosco qui, il est vrai, a été vécue plus qu’explicitée.