Est-il besoin d'épiloguer encore sur nos faiblesses, nos imperfections, nos médiocrités, nos fautes ? Il n'y a vraiment pas de quoi s'étonner, dit saint François de Sales, que « l'infirmité soit infirme et la faiblesse faible, et la misère chétive1 ». En revanche, nous serions plus avisés de nous inquiéter de « la déplaisance aigre et chagrine, dépiteuse et colère » que nous éprouvons pour nos
La medecine douce de saint Francois de Sales
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A propos de l'auteur
Robert SCHOLTUS
A publié un Petit christianisme d’insolence (Lessius, 2015).