Témoignage de confinée

Mars 2020, à La Barouillère : la « maison de famille » des sœurs auxiliatrices dans le VIe arrondissement de Paris, habituellement une ruche où l'on croise des personnes et des groupes très divers, se resserre autour des vingt-cinq sœurs qui y vivent, réparties en cinq groupes communautaires. La vie confinée s'organise : solidarité pour les courses, moments de détente, séances de gymnastique… Et une question en particulier : quelle vie liturgique pourra nourrir notre foi en l'absence de culte public ?

Nous avons une belle chapelle et aimons nous