Est-il besoin d'épiloguer encore sur nos faiblesses, nos imperfections, nos médiocrités, nos fautes ? Il n'y a vraiment pas de quoi s'étonner, dit saint François de Sales, que « l'infirmité soit infirme et la faiblesse faible, et la misère chétive1 ». En revanche, nous serions plus avisés de nous inquiéter de « la déplaisance aigre et chagrine, dépiteuse et colère » que nous éprouvons pour nos