Desclée de Brouwer, 2000, 92 p., 82 F.
Fondatrice des Petites Soeurs des Pauvres, la bienheureuse Jeanne Jugan l'est doublement. C'est elle qui, en 1839, aidée de deux compagnes, a commencé d'héberger des vieillards pauvres et qui, au cours des années suivantes, a ouvert les premières maisons de la congrégation naissante Puis, à partir de 1852, exclue de toute activité et de toute responsabilité par la volonté d'un prêtre jaloux de son autorité, elle a vécu vingt-sept ans au milieu des novices, leur communiquant par l'exemple l'esprit et le charisme de leur vocation.
S'attachant essentiellement à ces dernières années, le père Eloi Leclerc fait revivre ici le rayonnement fécond de cet humble silence.
Fondatrice des Petites Soeurs des Pauvres, la bienheureuse Jeanne Jugan l'est doublement. C'est elle qui, en 1839, aidée de deux compagnes, a commencé d'héberger des vieillards pauvres et qui, au cours des années suivantes, a ouvert les premières maisons de la congrégation naissante Puis, à partir de 1852, exclue de toute activité et de toute responsabilité par la volonté d'un prêtre jaloux de son autorité, elle a vécu vingt-sept ans au milieu des novices, leur communiquant par l'exemple l'esprit et le charisme de leur vocation.
S'attachant essentiellement à ces dernières années, le père Eloi Leclerc fait revivre ici le rayonnement fécond de cet humble silence.