«Il s’agit plutôt, pour le croyant, de reconnaitre avec joie qu’en essayant de mieux lire ses Ecritures, il sert l’humanité, en lui et dans les autres. Il fait œuvre « culturelle », c’est-à-dire qu’il façonne un visage humaine au monde. Sans réclamer privilège et préséance, il prend part aux taches humaines – toute sa part, à visage découvert, en son originalité de croyant.»

François Marty, L'empire des images, Christus n°123