Nous retrouvons cette atmosphère oppressante et grise des dictatures communistes, la surveillance humiliante et bête à la fois de la Stasi, la soif de liberté qui se cache en certains êtres, quel que soit leur âge ou leur profession, « ce climat propre à la société totalitaire, où la suspicion généralisée règle les rapports sociaux et où l'abjection, domestiquée, devient pure affaire de routine » (J. Mandelbaum). Le personnage central, celui de Barbara, est celui d’une