Accompagner les malades, L'Atelier, coll. « Vivre, croire, célébrer », 2000, 144 p., 80 F.
Les funérailles avec les personnes éloignées de l'Eglise, Mêmes références.
Marie-Geneviève de Klopstein, religieuse auxiliatrice, a été pendant près de dix ans responsable d'aumônerie d'hôpital. Sa longue expérience du monde de la santé lui donne un regard riche d'humanité sur ces patients qui lui ont beaucoup appris. Celui qui s'engage à « venir » vers l'autre le coeur et l'esprit ouverts, à marcher à son rythme, doit apprendre à fonder sa présence sur la démarche du Christ auprès des malades et de ceux que la vie déçoit. Cet ouvrage aidera ceux qui, individuellement ou en équipe pastorale, rencontrent les souffrants à reconnaître en eux les signes de la présence agissante de Dieu.
Après Préparer et célébrer les funérailles (1996), Pierre Vibert poursuit sa recherche de pasteur et ses questionnements dans Les funérailles avec les personnes éloignées de l'Eglise. L'auteur fait référence à ceux, nombreux, qui ont pris leurs distances vis-à-vis des institutions et de la pratique religieuse. Comment permettre à cette nébuleuse complexe de faire assemblée avec des croyants tout aussi diversifiés, en particulier les jeunes adultes de plus en plus étrangers au message et au langage de l'Eglise ? Vibert nous livre sa manière de procéder : l'importance d'un accueil personnalisé, l'attention à la dimension humaine du défunt dans un « langage de proximité » souple et cordial. Pour lui, la vérité sur la mort et la résurrection ne peut s'offrir à présent que comme un souffle fragile, et non au son des trompettes de la certitude.
De multiples exemples illustrent cet ouvrage qui vient à l'heure où, dans de nombreuses paroisses, des « équipes funérailles » se sont mises en place.
Les funérailles avec les personnes éloignées de l'Eglise, Mêmes références.
Marie-Geneviève de Klopstein, religieuse auxiliatrice, a été pendant près de dix ans responsable d'aumônerie d'hôpital. Sa longue expérience du monde de la santé lui donne un regard riche d'humanité sur ces patients qui lui ont beaucoup appris. Celui qui s'engage à « venir » vers l'autre le coeur et l'esprit ouverts, à marcher à son rythme, doit apprendre à fonder sa présence sur la démarche du Christ auprès des malades et de ceux que la vie déçoit. Cet ouvrage aidera ceux qui, individuellement ou en équipe pastorale, rencontrent les souffrants à reconnaître en eux les signes de la présence agissante de Dieu.
Après Préparer et célébrer les funérailles (1996), Pierre Vibert poursuit sa recherche de pasteur et ses questionnements dans Les funérailles avec les personnes éloignées de l'Eglise. L'auteur fait référence à ceux, nombreux, qui ont pris leurs distances vis-à-vis des institutions et de la pratique religieuse. Comment permettre à cette nébuleuse complexe de faire assemblée avec des croyants tout aussi diversifiés, en particulier les jeunes adultes de plus en plus étrangers au message et au langage de l'Eglise ? Vibert nous livre sa manière de procéder : l'importance d'un accueil personnalisé, l'attention à la dimension humaine du défunt dans un « langage de proximité » souple et cordial. Pour lui, la vérité sur la mort et la résurrection ne peut s'offrir à présent que comme un souffle fragile, et non au son des trompettes de la certitude.
De multiples exemples illustrent cet ouvrage qui vient à l'heure où, dans de nombreuses paroisses, des « équipes funérailles » se sont mises en place.